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Compte rendu de l'atelier « comment s'organiser pour consommer moins d'énergie dans les transports »
entre 1973 et 2012 : consommation d'éneegie :
+90 % dans les transports ; +20 % dans le logement
2012 : transports = 70 % de la consommation totale
d'énergies
SNCF ne veut plus de cabotage (petits trajets,
correspondances). Utilise des logiciels conçus par des multinationales qui ont
une logique de rentabilité plutôt que de service publique
logique actuelle de privatisation du rail : impasse. Il
faut un service publique.
conflits d'intérêts : Midi Pyrénées augmente de
25 % le budget transport, et en même temps RFF augmente le prix des arrêts
en gare
pas assez de transports collectifs utilisables pour aller au
travail
propositions :
- gratuité : question politique et pas économique
- question de la vitesse : liée à la société actuelle
où tout doit aller vite. Il faut repenser la lenteur.
- sécuriser les trajets piétons et cyclistes
- relocaliser la gestion du réseau
- fabriquer des véhicules plus légers
- limiter la consommation d'électricité. SNCF = 1 tranche
nucléaire ; micro-ordinateurs = 3 tranches nucléaires
Agriculture
- privilégier la production et la consommation locale : permet de limiter les transports et les émissions de GES qui vont avec.
- privilégier la production de saison pour éviter la chaleur et la lumière artificielle très énergivores
- développer des circuits alternatifs de distribution : regroupements de producteurs, marchés, AMAP, circuits courts en général
- supprimer les intrants chimiques qui consomment des ressources fossiles (dérivés de pétrole) et de l'énergie pour leur production
- limiter la mécanisation pour réduire la consommation de ressources et d'énergie nécessaire à leur fabrication et fonctionnement, et pour favoriser l'emploi
- manger moins carné
- les agriculteurs sont victimes du système en place et doivent être accompagnés dans la transition
- sortir d'une logique de concurrence en développant l'économie sociale et solidaire et une logique du « commun ». Une dynamique de coopération permet de réfléchir ensemble à ce que l'on produit et comment on le produit.
- en plus de développer tout cela, que faire face au système actuel ? Campagnes de boycott ?
Biens
globalement : produire moins pour économiser ressources et énergie, mettre fin à l'obsolescence programmée.
- renoncer à un niveau de vie matériellement élevé.
- produits réparables
- disponibilité des pièces détachés
- étiquetage des produits informant sur ces deux caractéristiques (réparabilité et disponibilité des pièces détachées)
- réseaux de réparation (artisanat) et d'auto-réparation (ateliers collaboratifs)
- favoriser l'auto-production
- associer les citoyens aux choix technologiques
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Compte rendu de l'atelier « comment s'organiser pour consommer moins d'énergie dans la production de biens et services »
Agriculture
- privilégier la production et la consommation locale : permet de limiter les transports et les émissions de GES qui vont avec.
- privilégier la production de saison pour éviter la chaleur et la lumière artificielle très énergivores
- développer des circuits alternatifs de distribution : regroupements de producteurs, marchés, AMAP, circuits courts en général
- supprimer les intrants chimiques qui consomment des ressources fossiles (dérivés de pétrole) et de l'énergie pour leur production
- limiter la mécanisation pour réduire la consommation de ressources et d'énergie nécessaire à leur fabrication et fonctionnement, et pour favoriser l'emploi
- manger moins carné
- les agriculteurs sont victimes du système en place et doivent être accompagnés dans la transition
- sortir d'une logique de concurrence en développant l'économie sociale et solidaire et une logique du « commun ». Une dynamique de coopération permet de réfléchir ensemble à ce que l'on produit et comment on le produit.
- en plus de développer tout cela, que faire face au système actuel ? Campagnes de boycott ?
Biens
globalement : produire moins pour économiser ressources et énergie, mettre fin à l'obsolescence programmée.
- renoncer à un niveau de vie matériellement élevé.
- produits réparables
- disponibilité des pièces détachés
- étiquetage des produits informant sur ces deux caractéristiques (réparabilité et disponibilité des pièces détachées)
- réseaux de réparation (artisanat) et d'auto-réparation (ateliers collaboratifs)
- favoriser l'auto-production
- associer les citoyens aux choix technologiques
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